Vous avez dit « Positif, c’est pour aujourd’hui ou pour demain ? »

« Voir loin, voir grand et voir le positif… non pas pour positiver sur aujourd’hui mais pour être objectif sur le monde de demain ».
Ne jamais laisser le côté obscur de la Force prendre le dessus. Faire savoir et valoir tout le positif qui germe en chacun·e d’entre nous pour insuffler une dynamique positive, seule capable de soulever les passions, d’enflammer les nations… pour construire le monde humaniste, juste, responsable et durable  de demain !

Les médias sociaux, la presse, les journaux télévisés… nous abreuvent de mauvaises nouvelles. Les dirigeants, citoyens… sont de plus en plus excessifs et extrémistes comme sil n’y avait plus aucune barrière ou retenue, revenant à la loi du plus fort… Dans ce monde de brute, peut-on encore être positif ? Et « le positif » peut-il encore devenir la ligne éditoriale de la presse, des médias et des réseaux sociaux ?

Positif, pourquoi, pour qui et comment ?

Avec foi en l’humanité, passionné par ce que l’on fait, exemplaire au maximum sur tous les plans, entreprenant, porteur de projet d’avenir, projetant une vision prometteuse du monde de demain, bravant le négatif, le manque de respect, la violence physique et verbale et la morosité ambiante, redoublant d’effort pour rendre le monde meilleur, multipliant les synergies entre acteurs, cultures et pays… on génère du positif autour de soi.. et en le faisant savoir au plus grand nombre, on crée une dynamique positive (« l’effet papillon »).
Lorsqu’on est dans une telle passion positive, on peut donner du sens aux valeurs, remettre l’intérêt collectif à l’honneur, diffuser de l’espoir et de l’amour, apporter des solutions, définir une vision pour demain, allumer des étincelles, susciter des vocations… !

A noter que si on n’est pas positif pour soi-même et avec soi-même, inutile de jouer au Robin des Bois. Mieux vaut se recentrer sur soi : oublier les actualités et les affaires du monde, les intox des médias sociaux, la sur-communication racoleuse. Se recentrer sur soi-même, profitez de chaque moment, de la lueur du soleil, du paysage, du visage de ceux qu’on aime… Se refaire une santé… en oubliant le monde tel qu’il est. Pour le reste, on verra après.

Le monde change et ce que l’on croit être des crises ne sont qu’un changement de paradigme. On peut se répéter « ce n’est pas bien », « ce n’est pas normal « , « c’était mieux avant », « c’est trop injuste »… Peut-être, mais ça ne changera rien. C’est ainsi, il faut faire avec et aller de l’avant en donnant du sens, montrant la voie, éclairant la route… Et à ceux et celles qui en ont le pouvoir, donner de la visibilité aux porteurs de positif et autres messagers d’espoir.

Positif pour demain ?

« On a ce qu’on mérite ». « Rien n’arrive jamais par hasard » (même pour gagner au loto, il faut avoir jouer). « On récolte ce qu’on a semé » et « Qui sème le vent, récolte la tempête ».
Si on veut du positif pour demain, il faut le semer aujourd’hui.
Comment être positif pour demain lorsqu’on voit le monde d’aujourd’hui et ses dures réalités : le changement climatique, les pandémies, les doutes et incertitudes, les guerres, l’escalade de la violence, les extrémismes en tout genre….
Une solution : l’action  et l’engagement pour construire demain !
Le problème c’est que :

  • Accaparé par le quotidien, on ne prend de temps pour ça (préparer l’avenir). On verra bien (le mur est encore loin).
  • On préfère prendre des chemins faciles et tous tracés, parce qu’ils sont « plus rentables », « plus facile » (on ne s’occupe de rien), « moins chers » voire gratuit (quand c’est gratuit c’est toi le produit)… même s’il nous conduisent dans le mur : désindustrialisation, dépendance aux tiers pour les premières nécessités (alimentaire, agriculture, santé…), énergie, dissuasion militaire…
  • Le pire c’est qu’on continue les mêmes erreurs avec « le » sujet majeur d’aujourd’hui et de demain : la dépendance numérique et la captation de données et contenus !
  • On préfère voir son intérêt personnel et à court terme…
  • Et puis, « tout le monde profite, casse, détourne, violente, fraude… et pourquoi pas moi », chacun avec son style et chacun à son niveau. « Qui vole un œuf vole un bœuf » !

Avec tout ça, pas facile de penser et d’agir positivement, de s’engager, d’être exemplaire pour construire positivement demain. Et pourtant, il faut persévérer… sans jamais confondre persévérance et obstination ! « Si la cause est bonne, c’est de la persévérance. Si la cause est mauvaise, c’est de l’obstination » (Laurence Sterne)

Comment construire un monde positif ?

Pour que le monde de demain puisse être positif, il faut agir sans tarder. Penser que l’on va créer du positif dans le monde entier, tout de suite, est très ambitieux. Il faut donc définir un périmètre d’action et avancer, concrètement, pas à pas.
Il n’existe pas de recette miracle. Il n’y a que des règles de bon sens :

  • Partager une vision commune : on peut fédérer, faire s’engager voire même faire des sacrifices si on perçoit les effets positifs pour le collectif et pour demain.
    Par exemple, ma vision est exprimée par ce blog.
  • Créer de la confiance, la confiance, rien que la confiance.
  • Choisir ses amis. S’entourer d’acteurs qui nous ressemble. On ne réussi jamais durablement seul. Certes, « mieux vaut être seul que mal accompagné »… mais ne rester jamais seul.
    Par exemple pour moi, la communauté d’acteurs engagés Beeznet .
  • Construire son indépendance au maximum :
  • s’associer avec des acteurs, entreprises, États de même valeur et qui partagent la même vision.
  • diversifier ses activités, ses investissements, ses sources de revenus pour ne pas se rendre dépendant de tel produit, pays…
    Par exemple me concernant, je m’implique dans une synergie positive gagnant-gagnant Europe-Afrique
  • Identifier et gérer les risques et leurs impacts pour prévenir et anticiper les problématiques de demain (numérique, souveraineté, diversification…)
    Par exemple pour moi, utiliser le risque comme levier positif pour préparer l’avenir.
  • Penser comme un gagnant. Avoir une pensée positive. Regarder devant (sans oublier les erreurs du passé) et revoir tous les « droits acquis » à impact négatif pour demain.
    Par exemple pour moi, me donner les moyens de devenir un manager du XXIème siècle.
  • Innover, apporter des solutions, agir, se donner les moyens … sans tout attendre des autres. Et prendre chez l’autre ce qu’il veut bien donner pour le collectif.

Et tous ceux et celles (média, presse, réseaux…) qui ont le pouvoir de faire savoir et faire connaître des acteurs et messagers positifs doivent le faire.
Par exemple pour moi, au travers de réseaux sociaux relationnels, de ce blog et des actualités Synertal, des actualités de SAS beeznet, des actualités de l’Association Beeznet.

Ne jamais laisser le côté obscur de la Force prendre le dessus. Faire savoir et valoir tout le positif qui germe en chacun·e d’entre nous pour insuffler une dynamique positive, seule capable de soulever les passions, d’enflammer les nations… pour construire le monde humaniste, juste, responsable et durable  de demain !

À chacun sa part. Vous ne pourrez plus dire que vous ne le saviez pas !