Autrement dit, une autre forme de bonheur et liberté à créer comme le disait Confusius « ne cherche pas le bonheur, crée le »
«Faire ce que tu aimes, c’est la liberté. Aimer ce que tu fais, c’est le bonheur.» – Pierre Champsaur, écrivain Public,
C’est bien de l’écrire, mais est-ce vraiment faisable ? Si oui, comment ? Et possible pour tous ? A quelles conditions ?
Comment faire ce que l’on aime ?
Sans chercher à être exhaustif, voici nos bonnes pratiques pour gagner en liberté :
* travailler où je veux, quand je veux : le télétravail. À découvrir dans notre précédent article
* s’engager dans ce que l’on fait, l’engagement, la motivation. À découvrir dans un précédent article
* « Bruce tout puissant », la responsabilisation. Bien comprendre ses limites de responsabilités (capacité et pouvoir de décision), les assumer et ne pas les outre-passer
* « mieux vaut être seul que mal accompagner .. mais ne rester jamais seul », s’entourer. Rien ne vaut que des partenaires, collègues, … de confiance pour nous épauler, soutenir, aider.. lorsqu’on en a besoin
* récolter les fruits de son investissement, la culture du résultat et de la valeur ajoutée. Être rémunération à la performance, de façon juste et équitable, être récompenser pour ses efforts…
Comment aimer ce que l’on fait ?
Le bonheur quant à lui est également accessible avec des clés de bon sens :
* peut-être le plus important, un sens commun (vision partagé)
* une cohésion de valeurs
* la reconnaissance par les autres, par ses pairs, …. , la félicitation
* un mouvement : de l’action et des actes (au delà des théories et des mots), en continu, dans la durée… (rien de fugace, pas d’immédiateté…)
* accepter le droit à l’erreur, le sien et celui des autres. « Seul celui qui ne fait rien ne se trompe pas », et encore !
* chacun à sa place & une place pour chacun. « Nous voulons de la place au soleil. C’est normal mon garçon. Alors fais du soleil au lieu de chercher à faire de la place », Jean Giono
Et si ce n’était pas si facile ?
Nous ne vivons pas dans un monde de bisounours. Si c’était si simple, ça se saurait.
En fait c’est simple et compliqué à la fois : * simple, car il suffit de le vouloir vraiment : liberté et bonheur dans la vraie vie, ça se travaille
* compliqué, car on touche à l’humain et que le vouloir nécessite de revisiter ses
Voici quelques retours d’expérience pour parvenir à cette transformation bénéfique :
* apprendre à aimer les choses pas toujours très fun mais utile (parce qu’elles sont rentables, parce qu’elles nous permettent de vivre, d’avancer, de se prendre en main, …)
* le juste équilibre entre ce que l’on sait faire (compétences), ce que l’on veut faire (intérêt) et ce qu’on attend de moi (besoin des donneurs d’ordre et prescripteurs)
*l’auto-organisation avec les autres (s’entourer, faire des compromis avec les autres, pour les autres),
* l’agilité (accepter le changement, savoir s’adapter aux nouvelles situations et évolutions, à tout moment,
* l’humanisme (croire en l’Homme avec ses qualité et ses défauts et tout faire pour faire éclore son potentiel)
Vous ne pourrez plus dire que vous ne le saviez pas.